Un an d'économies, de préparations plus ou moins intenses, de doutes, de déceptions, de discussions, mais aussi de rêves assis devant des cartes, des sites web, a lire des guides et a esperer….
Une annee folle, intense, pour rendre concret un désir très abstrait: voyager ensemble autour du monde!
Un reve qui se realise: 6 mois de voyage de noce ensemble, en Australasie, Asie et sous continent indien. "Le voyage est un retour vers l'essentiel”. Proverbe Tibetain
L’envie "d'aller voir": aller à la rencontre des habitants de la planète, découvrir d'autres modèles de civilisations, d'autres types de relations entre les gens, des paysages très différents, des villes etonnantes fascinantes ou effrayantes, des ambiances et atmospheres marquantes.
L’envie “de casser les routines”, la lethargie du quotidien, de nos vies urbaines fatiguantes et alienantes, de faire un break.
L’envie de “prendre du temps ensemble”: profiter de chaque journée ensemble pendant 6 mois, nous autoriser a etre tout simplement, se poser, avoir du plaisir a vivre a deux et a s’emerveiller de cette aventure.
L’envie de “se redecouvrir”, en tant qu’individu et en tant que couple. Le voyage extérieur invite au voyage intérieur et il nous semble que ce voyage va etre une école en soi. Se poser, ne pas courir, etre face a soi meme, avec ses doutes, ses peurs et ses envies. Se retrouver a deux aussi, face a face, se confronter, raviver la flamme et regarder ensemble la même route.
L’envie “d’etre libre”: voyager donne un sentiment de liberté, avec l'impression que tout est possible, grandir intérieurement et ouvrir des horizons nouveaux...
Beaucoup d’envies donc mais aussi un constat simple: Si on ne le fait pas maintenant, on ne le fera jamais! Alors on y va!!!
“Courir le monde de toutes les façons possibles, ce n'est pas seulement la découverte des autres, mais c'est d'abord l'exploration de soi-même, l'excitation de se voir agir et réagir. C'est le signe que l'homme moderne a pris conscience du gâchis qu'il y aurait à rendre passive une vie déjà bien courte." Xavier Maniguet
